La 16ème édition a été chaleureusement accueillie par Monsieur Pascal Fricard, directeur du château Tour Saint-Fort, qui a partagé avec passion les secrets de ses vins pour nos invités, lauréats. Une magnifique propriété, symbole d’une belle renaissance.
Le comité de lecture a minutieusement étudié les ouvrages déposés lors du salon. Ce prix littéraire distingue un livre par thème parmi les 38 ouvrages proposés cette année : romans, documents, témoignages, littérature jeunesse, poèmes, nouvelles, polars
Après une délibération rigoureuse, les prix ont été remis lors d’une proclamation solennelle sous les applaudissements du public.

Prix Saint-Estèphe
Jean Pierre Gauffre pour son ouvrage « 778 g »  aux éditions Hello. Avec son humour habituel, Jean-Pierre Gauffre nous entraîne dans un road-trip plein de suspense pour déposer les cendres de sa mère dans son pays natal. Ce roman est un hommage émouvant à celle qui lui a donné la vie.

Prix Saint-Estèphe Château Tour Saint-Fort
Bernard Stora « Le bada » aux éditions Denoël. L’auteur tisse en virtuose les destins mêlés d’une famille du sud de l’Italie arrivée en France et celui d’une famille juive venue d’Algérie, croyant échapper à l’antisémitisme.. 3 thèmes l’immigration, l’homophobie, l’intolérance. Histoire cruellement d’actualité encore de nos jours.
Pierre-Yves Quiviger pour « une philosophie du vin » aux éditions Albin Michel. Ce livre croise les questions d’esthétique, de morale, de société, de droit, d’histoire de la philosophie et de la religion. Cet érudit, amoureux des vins nous apprend tout ce qui fait la réputation et la gloire de ce breuvage qui est loin de n’être qu’une boisson.

Prix Saint-Estèphe prix du jury
Agnès Claverie pour «les Bouscatières aux éditions les Moissons».
Cette histoire romancée d’une famille se passe entre fin du premier empire et celle de Napoléon III Agnès Claverie nous conte surtout l’histoire d’Arcachon et plus, à la période de l’essor de l’immobilier, des transports, et de l’assainissement de la lande à l’aube du XXème siècle.

Prix Saint Estèphe « Prix Jeunesse École Primaire Michel Vidou »
Lison Piantanida dès son plus jeune âge, com- pose de petites histoires. À 12 ans, elle écrit son premier récit, et à 14 ans, son premier roman. Les enfants de l’école Michel Vidou ont sélectionné « Le Cagibi ». Cette histoire offre une aperçue intrigante de la vie d’une actrice confrontée à une tragédie. La transformation de Mila, entre gloire et désillusion, est bien mise en lumière.
Il est également important de souligner une première : parmi les lauréats, une jeune auteure de 16 ans a su séduire le jury du comité des élèves.